Enzo Lelievre nous parle de ses chances dimanche sur l’hippodrome de Rambouillet.
- Deesse des îles
- Haute cote de nuit
- Gradin du stade
- Gina du mouchel
- Fleur de vanille
5 chances pour André le Courtois, première course à 14h30 sur internet.
#2 #2k21 #27➡️➡️➡️50 🐎🐎🔥🔥
Bienvenue à l'élevage des charrons
L'aventure de Damien Mallet débute en 2014 dans l'allier, à Meaulne, en investissant dans sa première poulinière, Avarie Surprise, qu’il vendra pleine quelques mois plus tard. Le rêve commence avec Quourasie de guez, qui met bas son premier poulain First des charrons, le first, le premier en anglais. C’est ce fils de Rolling d’heripré qui lui apporte ses premières victoires. Il eut également Fier des charrons, qui prit également des places. Pour sa première année d'éleveur, c’est 2 poulains sur 3 qui connaissent la compétition.
Les “G” et l’arrivée d’un phénomène :
Pour sa deuxième année , 4 poulains ont vu le jour et la réussite se poursuit, mais avec des péripéties. C’est du 50/50 cette année-là, Geek des charrons a été acquis par Kevin Tebirent où il prit des accessits avant de rejoindre les boxes de Joris Filograsso. Il y a un certain Ghost des charrons, passé dans plusieurs écuries et retourné dans les paddocks à Damien. “ il est mauvais, il vaut rien” voilà les retours. Mais Joris Filograsso, encore lui, voulait le réessayer. Il réussit à le qualifier à Saint Galmier en mai 2019 en 1.18.5 et suivent 3 podium en 4 courses avec Jean Boillereau au sulky. En 2020, après un début d’année compliquée, un cheval dur se révéla aux grand public en remportant 4 victoires, dont la plus belle un 5 décembre 2020 à Vincennes avec Francky la main froide ( Franck Nivard ) aux commandes. 2021 pour Ghost est la même lancée, victorieux à Lyon-la-soie et deux 2ème places .
L’arrivée y a 3 ans dans sa nouvelle demeure au Châtelet :
L’Elevage des charrons se situe désormais dans la commune du Châtelet dans le Cher, et compte aujourd’hui 24 hectares pour accueillir les juments poulinières et les poulains jusqu’à leur départ pour le débourrage ou la vente. Actuellement, Damien possède 10 poulinières et un étalon, File gin, pour la saison de monte 2021
Clement Fouquet, un jeune qui en veut ;
Ce jeune homme de 23 ans voulait, au tout début, devenir Maréchal-ferrand, mais le goût et la passion des courses en ont décidé autrement. Il se lance dans un apprentissage et commence à apprendre le métier dans de belles maisons, Philippe Daugeard et Stéphane Meunier, avant de s’envoler pour la Suède. C’est là-bas qu’il trouve sa destinée, courir dans les pelletons pour obtenir sa licence officielle lui fait ouvrir les yeux. Il reprend le chemin de la France et la direction de Sablé-sur-Sarthe chez Jean-Michel Bazire, qui permet à Clément de driver en France. Mais il recherche activement de nouvelles montes auprès d’entraîneurs qui seraient prêts à lui faire confiance.
Il se fait également la main sur son cheval Gros Moteur Meek, qui a une belle histoire.
- Peux-tu nous la raconter Clément ?
« C'est un cheval qui est né chez Johann Loutreuil, un très bon copain, donc je le connais depuis foal... Il est parti au débourrage et à l'entraînement où ça ne s’est pas trop bien passé. C'est un cheval qui était assez compliqué, et assez fragile de santé je pense. Son entraîneur n'en voulait plus, il fallait le requalifier et il venait de louper l'épreuve à Caen. J'ai conseillé à Johan de le mettre chez Charley Heslouin où je pouvais le suivre de plus près. Il me l'a fait driver, repasser les qualifs au bout de 3 semaines à Meslay du maine et ensuite, me l’a fait driver à Chinon, où ça s'est plutôt mal passé. Il a été pris d'un petit coup de folie, a voulu tapé, on a été obligé de faire non partant car il était vraiment incontrôlable. À la sortie de piste tout le monde me disait qu'il fallait le tuer, qu'il n'y avait rien à en faire, qu'il était beaucoup trop dangereux. Johann voulait donc arrêter sa carrière totalement et baisser les bras, je lui ai dit que je préférais qu'il continue d'essayer, ou bien même de lui racheter. Il a dit que si vraiment j'y croy
L’apprentie du diable, Charline Silbermann ;
S’il y a bien une lad des plus heureuse en se réveillant ce matin, c’est bien Charline, avec ce magnifique rêve qui se réalise. Son Diable de vauvert, qu’elle chouchoute tout les jours, a remporté son billet pour l’Amérique, en finissant vainqueur sur un finish magistral dans le prix de Bretagne.
Cette jeune lyonnaise de 29 ans, fidèle à son patron depuis plus de 7 ans, Bertrand Le Beller et sa femme Emilie, qu’elle remercie de leur confiance, et également Franck Lemuet, le propriétaire du champion.
Nous leur donnons rendez-vous le 31 janvier 2021, pour la plus belle course de leur vie.
Le trot compte de nombreuses belles histoires, et celle de Charline, Emilie, Bertrand , Franck et bien sur Diable en fait désormais partie.
Porte ouverte sur Tiphaine Levesque et l’écurie de l’iton ;
-Pour commencer, pourrais-tu te présenter ?
-TL : J’ai un parcours un peu atypique pour une lad-jockey parce que suis toujours étudiante. J’ai fais le choix de faire une école d’ingénieur en agronomie en 5ans et pour cette raison j’ai eu le droit de prendre une licence de jockey pour monter uniquement les chevaux de mon père Hughes Levesque qui est entraîneur. Mon rôle au sein de l’écurie se limitait donc à aider les week-ends et pendant les vacances. Néanmoins depuis un an et demi j’ai pu m’investir beaucoup plus auprès des chevaux. J’ai donc pu monter plus régulièrement en courses et m’améliorer. Si tout se déroule comme prévu je devrais terminer mon école en 2021 et mon objectif serait ensuite d’être employée dans une autre écurie afin de découvrir de nouvelles façons de faire et prendre de l’expérience.
-L’ Ecurie de l'iton est en pleine forme au niveau des résultats depuis la fin du confinement et la reprise des courses. Quel est votre secret ?
-TL : Malheureusement nous n’avons pas de secret. On traverse une bonne passe et on en profite mais avec les chevaux la roue peut très vite tourner. Nous avions mis en place des travaux de fractionnés qui nous paraissaient efficaces et qui ont sûrement bien préparé nos chevaux pour sortir du confinement. Au niveau des changements, nous avons modifié notre alimentation et celle-ci semble être bien plus digestible et confortable pour nos chevaux. Je pense que cela a beaucoup compté. Le petit break obligatoire dû à l’arrêt des courses n’a sûrement pas fait de mal non plus.
-Personnellement, quel est ton plus grand rêve et quels sont tes objectifs de carrière ?
-TL : Mon plus grand rêve serait qu’on puisse un jour élever et entraîner un cheval pour courir le prix d’Amérique, et dans mes rêves les plus fous, le gagner.
Concernant mes objectifs, j’aimerais à terme pouvoir rep
Malgré le coco 19, un peu de monde à Son Pardo et une ambiance conviviale avec restaurant en bord de piste ....
Un résumé des courses à venir
#TEAM FRANCE TURF&CO
C’est avec plaisir que l’équipe de France Turf & Co s’agrandit en accueillant de nouveaux journalistes : Aurélien Bloyet, Christophe Lazareno et Anthony Lambert.
Et c’est avec un immense honneur que nous accueillons une grande journaliste bien connue du monde hippique, Laure Nové-Josserand, qui nous réserve de belles surprises.
Nos nouvelles recrues ont hâte de vous faire découvrir et partager notre passion.