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Volcanics - "Volatile World" - 2024Les Volcanics reviennent 5 ans après leur précédent album « Black Door » et c'est dés...
24/01/2025

Volcanics - "Volatile World" - 2024

Les Volcanics reviennent 5 ans après leur précédent album « Black Door » et c'est désormais « Volatile World » l'album classic rock australien par excellence, inspiré de groupes qui les entourent depuis toujours comme The Victims ou The Scientists sans oublier l'énergie et l'injection de sueur que leur procure leur admiration pour des groupes classiques comme MC5, Stooges ou Radio Birdman et The Saints. Cependant, les Volcanics ont réussi à se forger leur propre style, leur marque, toujours sans exagération et en attaquant directement là où on en a le plus besoin. Les 10 titres de cet album sont un délice pour les fans de groupes qui viennent des antipodes (Radio Birdman, Hoodoo Gurus, The Saints). « Why'd ya do do that », « Volatile World » et « Saturday Night » ont servi de singles pour avoir une idee ce qu'ils faisaient et qu'ils nous ont révélé tout au long de 2024. D''autres pépites comme «Always Night Time », « City Move On », « When The Light is On » s'ajoutent à l'équation. Ils vous/ nous font vibrer également avec les sauvages « Red/Blue Day » et «The Only One ». Ils offrent des moments de mid-tempo pour se calmer et se laisser emporter après la tempête, « Submarine » et « Don't Have To Be ». Sans aucun doute, un album indispensable dans toute discographie.

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Tex Perkins and The Fat Rubber Band, premier album sous ce projet, du leader des Beasts of Bourbon entre autres, sorti e...
13/01/2025

Tex Perkins and The Fat Rubber Band, premier album sous ce projet, du leader des Beasts of Bourbon entre autres, sorti en 2021. Blues folk rock et surtout très swamp australien comme toujours. Un album tout en nuances, subtilités et arrangements classieux.

"La dernière incarnation palpitante du maître conteur de rock'n'roll Tex Perkins et du Fat Rubber Band a commencé avec un disque de Link Wray.
Perkins et son respecté musicien, auteur-compositeur, producteur et compagnon de groupe Matt Walker partagent une admiration mutuelle pour l'innovateur de la guitare électrique américaine, dont les accords de puissance emblématiques dans ses instrumentaux rock'n'roll des années 50 ont eu une profonde influence sur l'évolution de la guitare rock.
Le duo a eu d'innombrables conversations musicales au cours de la décennie alors qu'ils traînaient dans les coulisses et sur la route avec The Man In Black - The Johnny Cash Story, récompensé par un prix, avec Walker jouant de la guitare dans le groupe Tennessee Four pour la production théâtrale.
Lorsque Perkins s'est enthousiasmé à l'idée que son partenaire lui ait trouvé une copie vinyle rare de l'album Beans and Fatback de Link Wray, enregistré en 1971, la réponse de Walker a déclenché une vague d'efforts créatifs qui aboutiraient finalement à la formation du Fat Rubber Band.
« Il a enregistré quelques albums dans un poulailler de la ferme de son frère Vernon, connus sous le nom de Three Track Shack Recordings - l'un était un album éponyme et le suivant s'appelait Beans and Fatback, qui est un peu plus rare.
« Ma partenaire Kristyna savait que j'étais fan de ce disque et elle est une ninja d'eBay et elle a trouvé une copie vinyle. Après l'avoir immédiatement serrée dans mes bras et remerciée pour cela, j'en ai pris une photo et je l'ai envoyée à Matt Walker. Et les mots fatidiques sont revenus : "Génial, faisons un album comme ça". Et c'était tout. Nous étions prêts ! » Tout au long de sa carrière de quatre décennies en tant qu'interprète captivant, auteur-compositeur convaincant et chanteur adroit, Perkins a recherché des collaborateurs qui partageaient à la fois sa passion pour la musique et mettaient sa créativité au défi. De son premier groupe Tex Deadly and the Dum Dums, en passant par la tension fertile de Beasts of Bourbon et le succès de The Cruel Sea, ses bromances musicales avec Tex, Don and Charlie et le travail parallèle de TnT avec Tim Rogers, et une myriade de groupes - Thug, Dark Horses, The Band of Gold, The Ape et oui, les Ladyboyz - l'extraordinaire adaptabilité de Perkins lui a permis d'explorer et de repousser les limites des formes de musique traditionnelles, du hard rock et du heavy noise aux ballades country folk et aux grooves blues. Tout cela avec son baryton inimitable et son sens de l'humour sournois. Mais le Fat Rubber Band était clairement destiné, avec Perkins et Walker échangeant rapidement des chansons pour le projet comme un match de tennis d'écriture de chansons qui revient perpétuellement à égalité. Walker a offert le morceau d'ouverture du premier album, le drame sur grand écran de Pay The Devil's Due ; Perkins a répondu avec le blues plaintif de My Philosophy. Walker a répondu avec le premier single de l'album, Danger Has Been Kind, axé sur le fuzz, et Perkins a répliqué avec le titre intimiste et glacial Poor Simple Minded Fool.

Le duo a testé sur la route leurs travaux en cours en duo avant d'engager le bassiste Steve Hadley, le batteur Roger Bergodaz et Evan Richards aux percussions pour compléter la formation de Fat Rubber Band afin d'enregistrer les dix titres de l'album aux Walker's Stovepipe Studios dans les Dandenong Ranges de Victoria.
« Dans le studio de Matt, vous ouvrez la porte du studio et la nature vous envahit », explique Perkins. « Nous voulions que cela sonne rural, que l'on sente la terre, l'herbe et les feuilles. »
Même après toutes ces décennies, alors que vous pensez connaître par cœur ce baryton graveleux, Perkins trouve de nouvelles tonalités émotionnelles au service des récits vivants des chansons de Fat Rubber Band, avec leurs personnages luttant, mais parfois dansant, avec les qualités plus dures et plus sombres de la condition humaine. C'est du blues vraiment existentiel.
Sous ces voix franches et ces harmonies brutes bouillonnent des conversations de guitare intimement liées et des fioritures percussives inattendues.
« Nous voulions aussi que le son soit parfois une collision, parfois un mariage d’instruments acoustiques et électriques. Nous voulions cette tension entre les mandolines et les bouzoukis qui rencontrent les guitares fuzz.
Nous avons également considéré les percussions comme un élément essentiel du son que nous recherchions. Nous avons remarqué dans les enregistrements que nous aimions des années 50 et 60 que souvent le coup de tambourin, les maracas ou toute autre percussion se trouvait juste là, juste à côté du chant », explique Perkins.
« La dernière caractéristique de la musique que nous voulions rechercher était les harmonies, les harmonies vocales. Non seulement Matt et moi avons découvert que nous pouvons tisser instinctivement autour du chant de l’autre, mais nous avons aussi trois autres grands chanteurs dans le groupe, donc des harmonies à cinq voix, c’est ce que nous obtenons sur des chansons comme Love Long Gone et Trouble Goodbye, ça peut être à couper le souffle… littéralement. »
C'est du country funk folk rock électrique existentiel de la fin des temps, du blues des sorcières des marais, c'est loin d'être fini, mais c'est ici et maintenant."

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Lumer - "The disappearing act" - 2021Chronique sur soundofviolence.net : "Pour ceux d'entre vous qui sont du style à hau...
12/01/2025

Lumer - "The disappearing act" - 2021

Chronique sur soundofviolence.net :

"Pour ceux d'entre vous qui sont du style à hausser dédaigneusement les épaules à la simple évocation des groupes post-punk, ressemblant à autant de rejetons plus ou moins heureux de The Fall, ces quelques lignes ne sont, a priori, pas faites pour vous.
C'est bien dommage, car cette attitude risquerait de vous faire passer à côté de The Disappearing Act, second EP de LUMER. En effet, si vous arrivez à passer outre cette impression vague de déjà vu, vous avez toutes les raisons de vous enthousiasmer pour le rock énervé de ces prometteurs garçons venus de Hull, dans le Yorkshire.

Bien sûr, LUMER développent une urgence somme toute commune à tous les groupes au style similaire. Pourtant, ils parviennent à surprendre quand ils sortent de terrains balisés, comme sur le très bon Sheets. C'est surtout avec l'excellent By Her Teeth et son intro éthérée et étrange qu'on s'éloigne largement des clichés post-punk. Le chant se fait moins parlé, et la mélodie est beaucoup plus pop. Mais le tout ne se fait clairement pas au détriment de l'énergie. Il en ressort un morceau vraiment très bien structuré, convaincant, qui vous prend littéralement aux tripes quand le refrain explose.

Sur Another Day At The Zoo, morceau préféré du chanteur Alex Evans, on retrouve la rage déversée sur un tempo ralenti berçant le riff lourd d'un rock bluesy crasseux et noir. C'est franchement réussi.
Ainsi LUMER ne se bornent pas à appliquer une recette, ou réciter une leçon apprise par cœur qui les verrait surfer trop facilement sur la vague de leurs aînés plus illustres. Les quatre anglais s'efforcent de nourrir leur musique d'influences diverses et évitent de rester dans un sillage précis. Pourtant, il en ressort un son qui leur est propre, clairement identifiable. Au final, impossible de confondre LUMER avec un autre groupe post punk. Le son lourd se retrouve aussi sur le premier morceau rageur, She's Innocent, autre titre remarquable de ce décidément très bon EP.

Sur le titre éponyme, on a affaire à une ambiance un peu old school, sorte de cabaret comique déluré et joyeux, tout en contraste avec le plus sérieux et acide White Tsar. Sur First Is Too Late, on revient sur des bases plus conformes pour un groupe de post punk. Pourtant, difficile de ne pas se laisser emporter par la nervosité et la rage de ce morceau.
Voilà donc comment LUMER vont réussir à vous faire revoir votre jugement, et vous convaincre qu'ils sont bien plus qu'un énième groupe post punk, pâle copie de la bande de Mark E. Smith."

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The Scientists - "You get what you deserve". Mauvaises vibrations, mauvaises habitudes et mauvaise haleine s’entrechoque...
12/01/2025

The Scientists - "You get what you deserve". Mauvaises vibrations, mauvaises habitudes et mauvaise haleine s’entrechoquent sur cette collection de dix chansons sur l’autoroute qui mène nulle part. Fondant le néo-grunge, le swamprock et le noise punk dans un chaudron de psychose dopée, You Get What You Deserve (1985) de The Scientists poursuit la tradition australienne de l’expression de la folie face à l’isolement culturel.

The Scientists est un groupe de post-punk australien, originaire de Perth. Il est mené par Kim Salmon qui jouera aussi dans Beasts of Bourbon et sous son propre nom en projet solo et plus. Le groupe possède deux incarnations : le groupe de punk rock de la fin des années 1970, et celui de swamp rock basé à Sydney/Londres des années 1980.

Réédition récente au son top (vitesse 45 tours) que beaucoup attendaient.

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The Decline! groupe de Punk-Rock mélodique avec des influences Folk et Country formé en 2009 à Rennes après la split de ...
12/01/2025

The Decline! groupe de Punk-Rock mélodique avec des influences Folk et Country formé en 2009 à Rennes après la split de Nevrotic Explosion. On y retrouve Cédric (Basse), Goose (Guitare - Thrashington DC) et David (Batterie) rejoints par Kevin (Chant - Slim Wild Boar And His Forsaken Shadow) et Xavier (Guitare). Après un premier concert au Mondo Bizarro, des dates avec notamment Burning Heads et The Adolescents, The Decline! enregistre Old Indian Cemetary, un premier ep qui sort chez Can I Say ? Records en 2010. Le premier album, Broken Hymns For Beating Hearts, sort fin 2011, il sera suivi par deux autres LP. Petit chef d'oeuvre punk rock emmené par la voix marquante de Slim Wild Boar, le groupe n'existe malheureusement plus... Ou presque... Une reformation a eu lieu cette année pour un concert unique. A suivre...?!

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Gene Clark - "No Other"Pressage us d'origine, de la folk de haute voltige. Chronique du site fakeforreal.net : "Au milie...
10/01/2025

Gene Clark - "No Other"

Pressage us d'origine, de la folk de haute voltige.

Chronique du site fakeforreal.net :

"Au milieu des années 70, cela fait un moment que Gene Clark s'est dissocié des Byrds. Membre fondateur de la bande, il est celui qui l'a poussée à composer ses propres titres plutôt qu'à reprendre ceux de Dylan, et il est le co-auteur du morceau de bravoure du groupe, "Eight Miles High". Cependant, c'est en solo qu'il poursuit sa carrière. Et si ses sorties sont admirables, s'il continue à montrer la voie, avec par exemple l'aventure country rock entreprise avec Doug Dillard, il n'est pas toujours reconnu à sa juste valeur.

D'autant plus qu'au milieu des années 70, c'est toute la scène rock californienne dont il est issu qui semble en déshérence. Son ancien groupe n'existe plus, et si en 1973 les Byrds tentent de revenir dans leur formation originale avec un album sobrement intitulé The Byrds, celui-ci est un four.

Quelques grands moments en émergent néanmoins, et il se trouve que ceux-ci, les titres "Full Circle" et "Changing Heart", sont signés Gene Clark. C'est suffisant pour que David Geffen investisse sur ce dernier, et qu'il lui accorde la somme de cent mille dollars pour enregistrer son prochain solo. Epaulé par Thomas Jefferson Kaye, un producteur aussi défoncé et halluciné que lui, l'Oyseau met cet argent à profit : il s'emploie à réaliser ses rêves musicaux les plus fous.

La première plage, "Life's Greatest Fool", fait illusion. C'est une chanson country rock dans le style dépouillé qu'on lui a connu sur le très bon album White Light (tout juste note-t-on, en cours de route, en avant-goût de ce qui vient, l'adjonction d'un chœur gospel). Mais après, Gene Clark met le paquet. No Other recourt à une débauche d'orchestration, à une profusion d'instruments (guitares de toutes sortes, mandoline, violon, violoncelle, orgues et autres claviers, etc.), et d'autres chœurs, plus exubérants encore. Et le tout s'étale sur des chansons de durées inhabituellement longues.

Quand David Geffen entend ce que Gene Clark a fait avec ses sous, il est horrifié. Il saborde la promotion de cet album, lequel sera un désastre commercial et critique. Le chanteur, qui y avait mis toute son âme, sera dévasté par cet insuccès, et cet album sera son dernier. Il trainera sa peine, divorçant de sa femme, celle-là même à laquelle est dédiée la dernière plage, "Lady Of The North". Et en 1991, il mourra dans l'oubli, emporté par les excès d'alcool et de drogue.

Comme toujours, le temps fera son œuvre. Des esprits éclairés, et plus particulièrement Ivo Watts-Russell du label 4AD, vanteront les qualités de l'album. Et à partir des années 2000, plusieurs rééditions feront réapparaitre ce chef-d'œuvre disparu. Mais avant cela, No Other est vu comme un produit de la décadence d'un rock californien dévasté, dans les années 70, par la surconsommation de cocaïne.

Et pourtant, ce sont des chansons simples que propose le chanteur. De jolies chansons poétiques et évocatrices ("Silver Raven"), de cryptiques réflexions philosophiques sur l'amour, sur l'existence humaine, sur les mirages de la vie ("Life's Greatest Fool", "No Other", "Some Misunderstanding", "The True One"), de grandes giclées cosmiques et psychédéliques ("Strengths Of Strings"), le joli conte triste d'une femme asservie par l'amour, à moins que ce ne soit par les drogues (“From A Silver Phial”), et pour finir, donc, cette complainte adressée à cette femme qui l'a fui pour aller s'installer en Californie du Nord ("Lady Of The North").

Et s'il est une chose que révèle la principale réédition de No Other, celle de 2003, c'est qu'au-delà de tout ce barnum musical, Gene Clark a écrit de grandes, de très grandes, chansons. Ajoutées en bonus, des versions plus dépouillées le confirment. L'orchestration qui accompagne les morceaux d'origine n'est pas de l'esbroufe. Elle est, au contraire, une manière d'amplifier et de magnifier un formidable matériau de départ, de montrer avec un éclat inédit, avec une insolence nouvelle, avec la magnificence de cette dinguerie qu'est "Strength Of Strings", ou bien l'époustouflant "Some Misunderstanding", à quel point l'ancien Byrds a été un géant.

Il n'y a pas d'autres œuvres comme No Other. Celui-ci n'est pas l'un de ces albums perdus qu'on vous vend comme un classique, alors qu'il est tout juste solide. Il n'est pas de ces disques qu'on aime vanter parce qu'ils ont été injustement dédaignés, ou parce que leur auteur a connu un destin tragique. Non, c'est bien plus, tellement plus que cela : No Other est juste l'un des meilleurs albums jamais enregistrés."

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Dead Moon "Crack in the system", sixième album studio, sorti à l'origine en 1994. Un véritable classique de Dead Moon. C...
10/01/2025

Dead Moon "Crack in the system", sixième album studio, sorti à l'origine en 1994. Un véritable classique de Dead Moon. Comprend le tube repris par Pearl Jam entre autres, « It's Okay » ainsi que d'autres classiques comme « Day After Day », « Cast Will Change », « Unknown Passage » et la meilleure version (parce que la plus fragile) de « The Times They Are Changin » jamais enregistrée !

Dead Moon est un groupe de rock garage américain formé en 1987 à Portland, Oregon. Le groupe était composé du chanteur/guitariste Fred Cole, de la chanteuse/bassiste Kathleen "Toody" Cole et du batteur Andrew Loomis. Dead Moon se dissout en 2006, se reforme en 2014 puis s'arrête définitivement en 2017 après la mort de Loomis et Fred Cole. Le groupe a sorti dix albums studio, six albums live et trois albums de compilation.

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Death "...For the Whole World to See", album, sorti en 2009 et composé de démos enregistrées à l'origine au milieu des a...
10/01/2025

Death "...For the Whole World to See", album, sorti en 2009 et composé de démos enregistrées à l'origine au milieu des années 70. En 1975, le groupe entre en studio pour enregistrer un album de 12 chansons. Véritable explosion proto-punk pour ce groupe composé de trois frères black. Ils venaient de Detroit et étaient partis pour faire de la funk et se sont retrouvés à jouer du rock très punk avant l'heure, après avoir assisté à un concert des Who. Après avoir refusé de changer le nom de leur groupe, Death fut refusé par Clive Davis de Columbia Records. Seulement sept chansons furent terminées et l'album ne fut jamais publié à l'époque.

En 2009, les morceaux ont été interprétées en live par Rough Francis, un groupe formé par les trois fils du bassiste original de Death. Avec le succès critique du disque et les éloges de nombreux autres musiciens, les deux membres survivants de Death ont reformé le groupe avec un nouveau guitariste pour promouvoir le disque eux-mêmes.

Mythique.

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Turnstiles "Collected Works". Naissance, vie et mort d'un des meilleurs groupes punk irlandais de ces dernières années. ...
10/01/2025

Turnstiles "Collected Works". Naissance, vie et mort d'un des meilleurs groupes punk irlandais de ces dernières années. Trois ans, de 2019 à 2022, auront suffit à ces cinq jeunes irlandais pour bousculer la scène punk locale, une poignée d'EP, un tour et s'en va ! Voici réunis sur un vinyle limité à 200 exemplaires (il n'en reste 7 au moment où j'écris sur leur bandcamp), 12 brûlots au son vintage/moderne en même temps ! Véritable punk rock DIY yourself militant et intelligent qu'il ne faut pas rater.

A ne pas confondre avec le groupe punk hardcore américain Turnstile (sans s) qui vaut le détour aussi !

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