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RALITT
Sourire enjôleur, crinière dans laquelle tu as envie de passer la main, accent belge à couper au couteau. Nul doute que tu as déjà dansé sur l’un de ses sets, si tu aimes t’encanailler dans les bars de la capitale. Ralitt, 26 ans, un agenda à faire pâlir le Grand-Duc. Les platines? Il a 12 ans et vole une cassette de Miss Kittin. Le gosse découvre l’électro et le mix. Il n’a jamais arrêté depuis, même s’il s’ouvre à d’autres genres. «Je traverse une période punk, complètement improbable pour ceux qui me connaissent! J’écoute aussi de plus en plus de hip-hop. Peu importe la mode. J’aime ou j’aime pas, et puis voilà! (rires)». Il n’était pas fan de l’école, il finit par devenir éducateur. Un comble. Un peu par flemme, il l’avoue. Il trouve un job dans une maison de jeune: il accompagne des ados dans leurs projets musicaux. «Génial pour faire des rencontres.» Une de ses connaissances lui propose de jouer lors des Les Aralunaires, à Arlon. Inspiré, il se met en tête de créer un festival dans sa région: Wave. Dans la foulée, il rejoint le collectif Eklektik Guys et co-organise Les Nuits Eclectiques. Début septembre, il a clôturé le Ward'in Rock avec un set démentiel. S’il s’éclate? «J’adore, mais j’aime encore plus rencontrer les artistes. Ils te racontent ce qu’ils font, leur vie… C’est vraiment cool.» Ses actus? Des sets à Luxembourg, bien sûr, et bientôt un EP…