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12/10/2022
22/07/2022

❤️

08/07/2022



𝐄𝐜𝐫𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫: 𝐊𝐈𝐍𝐆 𝐍𝐀𝐓𝐇



J’avais passé les 4 autres jours dans des conditions que je n’expliquerai pas. Plus les jours avançaient, plus la dose devenait de plus en plus grande et différente. Chaque jour qui passait, chaque heure, chaque minute et chaque seconde, je pleurais dans mon cœur et quand j’étais seule, je versais des larmes.

Les regrets, le remords… si je savais…

J’avais passé deux jours de plus chez ce charlatan d’homme riche. Après avoir couché avec son chien, il m’avait donné ses urines de boire dans un récipient. Malgré mon refus j’avais finis par boire.

Il m’avait soumis à plusieurs autres pratiques. Ma prière était juste que ce cauchemar s’arrête.

J’étais rentré au domicile de Martin. Il était venu me chercher après que j’eus terminé avec cet Arabes. Dans la voiture j’étais calme plus qu’un océan.

--- Tu es très calme aujourd’hui ! Pourtant en vie. Ce qui veut dire que ça s’est très bien passé. M’avait lancé Martin

Je ne lui avais pas répondu. Je n’en avais même pas la force nécessaire pour parler. Je le voyais comme le plus grand monstre de tous ces gens. Sans lui je ne serais pas ou je suis actuellement.

--- je vois que tu refuses de me parler. Ce n’est pas grave. Tu as la journée de demain pour te reposer. Et le après-demain c’est ton dernier jour suivant le test et tu entreras dans le premier vol pour le Cameroun le jour d’après. Avec ton argent bien sûr. L’argent que tu as travaillé avec ta propre force.

Il a roulé jusqu’à sa maison. Je suis allée dans ma chambre et j’ai fermé la porte. Je me suis rendue à la do**he et je me suis lavée tout le corps en prenant le soin de bien frotter toutes mes parties.

J’avais sommeil, j’étais fatiguée. Avec tout ce que je subissais chez ce vieux
Arabe, je n’avais vraiment pas pu dormir depuis tout ce temps.
Je me suis allongée et j’ai fermé les yeux pour m’en dormir. C’était presqu’impossible. Je repensais à ce qu’on me faisait subir et mes larmes trouvaient leur chemin sur ma face.

J’essayais d’imaginer ce qui se passera dans 2 jours. Le dernier jour ! Si chaque jour qui passait la dose de maltraitance et de domination augmentait, qu’en sera-t-il du dernier jour ?

Je pensais à Brice. Là sur mon lit mes pensées faisaient un tour dans le passé. Je l’aimais ce gars. Il n’avait rien mais il était intelligent et très optimiste dans le futur. Si j’avais su j’aurai fait ce que m’avait demandé Lucie. J’aurai simplement géré d’autres relations en maintenant Brice.

Qu’est ce eu j’avais fait ? Pourquoi n’avais-je pas donné une autre chance à Brice ? Autre chance même ? Il ne m’avait rien fait du tout.

Avais-je gâché ma vie ? À la recherche de l’argent, de l’influence, du pouvoir, je m’étais perdue. Oui je ne savais plus qui j’étais après ces maltraitances par ces arabes sans cœur.

Le vagin ne servait qu’à recevoir le pénis. L’Anus ne servait qu’à évacuer les excréments. Mais tous ces organes avaient été utilisés autrement. Mon a**s recevait désormais des pénis et godes de toutes tailles. Mon vagin recevait pénis, gode et les animaux.

Etais-je encore une seule seconde normale ?

J’étais toujours couchée. Pleurant de douleur et me demandant ce que j’avais fait à ma propre vie. Je me suis rappelé du passé. Je me rappelais ma dernière dispute avec Brice. Il m’avait supplié d’arranger nos disputes j’avais refusé. Je me rappelais même de notre rencontre :

*** Flash-Back***

Brice et moi nous sommes au banc public de l’université

--- je t’aime beaucoup Miranda. Et je te jure tu seras toujours celle pour qui mon cœur battra. Quoiqu’il arrive je vais t’aimer.

--- c’est comme ça que vous les hommes vous dites toujours mais dès qu’une situation arrive on ne vous voit plus. Les hommes bons quand tout va bien, et mauvais quand rien ne va

--- je ne suis pas avec toi pour ta beauté. Je suis avec toi pour ton comportement. Tu es une fille bien. Tu es une fille qui a de l’avenir. Tachons juste d’évoluer ensemble sans faire du faux ou entrer dans des choses bizarres. Seul on arrive lentement, ensemble on arrivera rapidement.

*** fin Flash-back ****

Il me l’avait bien précisé pendant nos débuts. Brice avait toujours voulu qu’ensemble on évolue. Mais moi je n’ai pas patienté. Je n’ai fait que ce qui me plaisais à moi. Maintenant je suis dans une situation compliqué. J’ai emprunté un chemin de non-retour.

Martin, cet homme qui ne cessait de me charmer avec les paroles mielleuses. Dur de caractère je croyais à un mâle dominant pourtant il avait bien ses plans iniques.

Lucie malgré le fait qu’elle avait été jalouse de moi dans mes débuts avec Martin, elle voulait à tous prix mon bien. Nous étions comme des sœurs à notre arrivée. Elle ne voulait que mon bien quand elle me demandait d’être prudente.

Je me rappelle encore de ce jour quand je quittais de la chambre :

**** Flash-back ****

--- Miranda tu as tellement changé. Nous sommes quittées de Bertoua ensemble pour Soa et nous avons toujours été bien. Inséparable. Mais à cause d’un homme qui te gère bien tu décides de partir ?

--- Non je ne pars pas à cause de lui mais à cause de toi. Tu ne cesses de me perturber avec tes histoires, tu ne cesses de me dire quoi faire et tut. Tu sais très bien que c’est toi qui m’as entrainé dans ça. Pourquoi je trouve mon bon payeur qui me gère ça te dérange ?

--- ce n’est pas ça le problème chéri. Le problème est que cet homme est tellement suspect. Si au moins c’était Charly j’aurai compris car je le connais très bien et je sais ce qu’il peut et ce qu’il ne peut pas. Je connais l’origine de ses fonds. Mais ce type je ne l’ai jamais vu. Tu n’as même jamais proposé à me le présenter. Tu ne te demande même pas ou il trouve de l’argent comme ça pour te gâter. Là où tu vas louer surement c’est lui qui paye. Miranda ça ne sent pas bon !

--- [ … ]

*** fin flash-back ****

Tous m’avaient interpelé mais je n’ai pas compris. Ou était ma sagesse ? Mon intelligence pour savoir que ce n’est pas quelque chose de claire ?

Je ne cessais de naviguer mon esprit quand Martin a frappé.

Je me suis levée avec beaucoup de peine avant d’aller ouvrir la porte.

--- Pourquoi tu l’avais fermé ?

--- En quoi cela va bien te servir ma réponse ?

--- oh tu parles. C’est très bien. Il faut penser à manger. Ce n’est pas bien de rester sans manger

--- je n’ai pas faim ! Et je ne veux pas de votre sale nourriture.

Après quelques échanges avec Martin il est sorti. La serveuse est arrivée quelques minutes après. Elle m’a servi et j’ai très bien mangé. Je lui avais demandé si elle connaissait cette grand-mère qui servait il y’a quelques jours. Elle m’a dit non ! Qu’elle était nouvelle depuis 7jr.
Décidément Martin avait tout fait pour calmer cette femme qui m’avait prévenue et je me suis entêté.

J’ai passé toute ma journée et mon lendemain couchée sur celait, sans téléphone, sans ami, sans ordinateur. Seule, et toute seule à réfléchir sur ma.

Le dernier jour était arrivé. Martin est venu dans ma chambre.

--- Lève-toi-et tu t’apprêtes. Nous allons y aller dans quelques minutes.

Il s’est retourné et il est parti. Je voyais le bout du tunnel. Il fallait alors redoubler d’effort et rester confiante d’un lendemain meilleur.

Je me suis habillée comme il l’avait soigneusement demandé et nous sommes partis.

--- à l’hôtel ou on va tu es libre de faire ce que tu veux. Pas de blessure ni bagarre. Tu rentras avec ton argent.

Il a roulé jusqu’à cet fameux hôtel. Un vrai bijou de cette ville. Je n’étais jamais entré dans un ascenseur chose que je fis.

Nous sommes arrivés au dernier niveau de l'hôtel. Il m’a conduit dans une grande salle où il y’avait un arabe et 2 filles. Cet arabe là était là le premier jour. Il faisait partir des ‘ qui m’ont cogné à tous de rôle.

Quand il m’a vu il est venu vers moi et m’a salué. Martin a pris congé de lui et il est parti me laissant là.

--- Rejoins ces filles ! M’a-t-il dit.

Comment ça les rejoindre ? J’étais perdue même en les voyant se donner plaisir entres elles. C’est avec ces lesbiennes qu’il voulait que je fasse des trucs ?

Je n’avais pas le choix. Je me suis mise en sous-vêtement et il je les a rejoints. Ce que j’avais refusé tout ma vie et m’étais opposé radicalement.

Nous étions donc 3 filles à se mélanger les langues comme des vipères et se toucher les parties.

Cet Arabes était fier. Il ne cessait de nous fixer t prenais plaisir.

Quelques temps après il a demandé de prendre des godes.

Avec ça, j’ai laissé libre champ à mon vagin.

Il était environs 14h. L’homme m’a donné ma valise après avoir ouvert, j’ai vu ma montre et on portable. Il y’avait de l’argent à l’intérieur. Martin est venu me chercher à 15h et nous sommes rentrés.

--- Bravo tu es officiellement Boss lady. Maintenant tu peux avoir la parole dans les endroits chics que tu auras pour toi.

Le lendemain Martin m’a accompagné à l'aéroport

--- je n’irai pas avec toi. M’a-t-il dit. Tu iras seul au Cameroun. J’ai d’autres choses à faire.

Nous nous sommes séparés quand je suis entré dans l’avion pour le Cameroun.

Martin m’avait créé un compte bancaire et avait converti tout mon argent en Franc pour que je retire facilement.

__________ A SUIVRE ___________

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27/06/2022



𝐄𝐜𝐫𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫: 𝐊𝐈𝐍𝐆 𝐍𝐀𝐓𝐇



Je pensais que l’adage qui dit : « L’argent est un bon serviteur et un mauvais maitre » n’était pas à vérifier dans ma vie. Pour moi l’argent était un bon serviteur et un bon maitre. L’avoir devait être facile.

Après cette nuit calme sur mon lit, je me passai la journée du lendemain à me remémorer les paroles de Martin en ce qui concerne mon physique. Il m’avait parlé de cela et m’avait recommandé de me chercher des meilleurs vêtements pour être sublime. Le vrai problème était de savoir comment faire pour acheter ces habits sans que Lucie ne me pose sans cesse de questions et se met en colère.

Cette fille d’ailleurs commençait à m’énerver. Même le peu d’argent que j’avais elle voulait à tout prix soutirer, pourtant elle a sa quantité.

Trois jours après, Brice avait débarqué à la maison autours de 13h. J’étais couché en train de regarder les photos des stars sur Instagram quand il frappa à la porte. Lucie elle, était sortie pour aller se procurer sa mèche dont elle m’en avait parlé.

Je me suis lourdement levée avant d’ouvrir la porte.

--- Ah Brice c’est toi. Désolé ! Tu peux entrer.

Je n’avais vraiment pas prévu le voir. Je ne sais ce qui se passait en moi, mais je ne voulais même plus de sa présence.

Il avait un emballage en main qu’il m’a tendu.

--- Merci. Ai-je répondu en le prenant. Puis j’ai déposé sur la table.

--- tu n’ouvres même pas pour voir le contenu ? Tu n’es pas fière ?

--- Si voilà pourquoi j’ai dit Merci. Je dépose parce que je vais détacher après.

Il a marqué un temps de pause. Expirant un bon coup. Avant de lancer :

--- Miranda qu’est ce qui se passe ?

M’avait-il demandé en prenant la chaise.

--- je ne pense pas te comprendre Brice. Qu’est ce qui se passe comment ? Je ne sais pas. Rien ne se passe.

--- comment ça rien ne se passe ? Miranda tu as changé. Tu n’as pas seulement changé mais tu es… tu es une autre personne je ne te reconnais plus. Qu’est ce qui se passe ? Qu’est-ce que je t’ai fait pour que tu te comportes de la sorte ?

--- Brice si tu as mes mots alors je t’écoute. Mais ne parle pas en parabole je comprends quedal.

--- Du jour au lendemain tu as changé Miranda. Tu ne m’écris plus, quand je t’écris tu ne me réponds presque plus, je t’appelle tu ne décroches pas, je te laisse les SMS après tu ne fais pas de retour. Je suis venue ici te voir mais… tu es pire que le président. Pour te voir il faut seulement faire un miracle. Avant tu accusais le travail. J’ai même tout fait pour te faire comprendre que certes tu travailles mais tu peux quand-même répondre à mon bonjour quand tu trouveras la faille. J’ai fini par laisser tomber. Mais voilà maintenant tu ne travailles plus je ne sais même pas pourquoi tu as arreté. Tu ne me cherche plus tu n’as plus mon temps. C’est quoi le souci ?

--- Tu te plains pour rien Brice. Il faut juste comprendre qu’il y’a des moments comme ça. Je suis occupée à chercher ma vie, à chercher l’argent pour mon école qui débute dans un mois. Tu ne m’aides pas pour quoi que ce soit. Comment je vais faire ? Je dois me concentrer et chercher ma vie.

--- C’est ça ton souci ? Mais Miranda tu m’as accepté comme ton copain tu savais dans quelle situation je suis. A un niveau de la relation, au tout début même je t’ai demandé qu’on arrête car je ne me voyais pas être dans une relation avec une si belle femme sans même pouvoir la gérer. Tu savais que je vis avec mon frère et que nous avons une ration en commun, tu savais que… tu m’as dit ce jour qu’il y’a aucun soucis et que tu ne m’aimes pas pour ce que j’ai mais pour ce que je suis. Avec moi tu as bravé tes années scolaires 1, et 2. On était bien… pourquoi subitement tu vois que je suis zéro dans ta vie ? J’ai terminé avec la licence cette année et je marche depuis pour déposer les demandes d’emploi et tout. Crois moi je vais commencer le travail et je pourrais prendre soin de toi comme il faut. Je suis témoin de ce manque envers toi. Mais ce n’est pas une raison de me fuir ainsi. Ce n’est pas une raison de te comporter comme ça.

--- j’étais naïve ! Je ne savais pas ce que je faisais. Je grandis et les charges et les dépenses augmentent aussi.

--- mais où est le rapport avec la relation. Tu mets un terme à une relation simplement parce que je ne … attends ! Miranda… tu as… tu as un autre gars ? Est-ce que tu me trompes ?

C’était une question capitale. J’étais resté calme pendant un moment réfléchissant à la réponse à lui balancer. Lui dire non, il continuera à me nuire. Lui dire oui, peut-être il me lâchera une seconde.

--- Brice je t’ai aimé, et je t’ai aimé beaucoup. Tu es une très bonne personne et je t’assure qu’avec un peu d’argent tu seras le rêve de toutes les filles. Mais comprends qu’à ce moment je me concentre sur moi-même. Je dois me battre, je dois sortir ma mère de la galère. Et je ne peux pas gérer relation et … et… et recherche d’argent. Ça sera très compliqué pour moi. Tu me comprends ?

--- Comment cette affaire de recherche d’argent t’obsède à ce point ? Non dis-moi pourquoi subitement tu deviens une autre personne ? Mais qu’est ce qui se passe avec toi ? Tu es venue ici pour les études, mais tu ne devrais pas faire de la recherche d’argent une obsession à ce point. Tu auras de l’argent, nous aurons de l’argent. Tu penses que moi je ne me tue pas aussi à chercher l’argent. ? De toutes les façons, Miranda tu me trompes ?

--- Oui Brice ! Je suis désolée mais j’ai un autre homme dans ma vie qui est présent et qui m’aide. Il me donne de l’argent et assure mon futur. Je sais que j’aurai dû te le dire depuis mais je suis désolé mais entre toi et moi ce n’est plus possible Brice ! Ce n’est plus possible je suis désolé.

--- Miranda j’espère que tu blagues

--- Non ! Je suis très sérieuse ! Tu trouveras une autre qui t’acceptera ainsi. Mais avec moi ce n’est plus possible je suis désolée.

--- Mais Miranda… Miranda je t’aime. Je t’aime Miranda. On peut encore en discuter et… et… et je trouverai forcement du travail. Même dans les chantiers je vais me battre à trouver un truc qui pourra nous aider. S’il te plait

--- Désolé Brice ! Désolé.

Il s’apprêtait à venir vers moi au lit pour me supplier lorsque Lucie entra, le trouvant presqu’à genoux

--- Mais Brice c’est quoi ? Qu’est ce qu’il y’a ?

--- Il s’apprêtait à partir. Répondis-je

--- Non ! Lucie tu me connais, j’ai toujours été honnête avec ta sœur. S’il te plait dis-lui de revoir sa conclusion. Elle vient de mettre un terme à la relation parce que je ne prends pas soin d’elle. Je peux comprendre qu’en tant qu’un homme je devrais. Mais on ne choisis pas sa situation. J’ai fini avec la licence je vais trouver un travail et tout rentrera dans l’ordre.

--- Quoi ? Miranda vient de te barrer ? Non mais Miranda viens un peu s’il te plait. Allons dehors.

--- Pourquoi encore ?

--- je dois te poser certaines questions. Viens !

Je me suis levée du lit et nous sommes sorties jusqu’hors du portail

--- Non Mais Miranda c’est quoi ça ?

--- Quoi ? Pourquoi tu as l’air surpris ? Mais c’est toi qui me disait qu’il ne me sert à rien et que je ne dois pas le gérer et tout nor ? Tu le dévalorisais nor ?

--- ça c’était avant okay ? Et n’oublie pas que je disais cela pour que tu acceptes avoir un homme qui prendra soin de toi. Je t’ai très bien dit que tu restes et traite bien Brice mais que d’un côté tu puisses avoir un homme payeur c’est tout. Brice t’aime tellement et toi aussi tu l’aimais. Qu’est ce qui a bien pu se passer ? Mais Miranda c’est quoi ?

--- Rien ! Je ne l’aime juste plus. Je ne veux pas être avec lui et le faire souffrir. Il est jeune il doit trouver une bonne femme qui le convient.

--- Attends !! Tu es amoureuse de Charly ?

--- Mais Non ! Jamais ! C’est juste pour de l’argent nor…

--- Et Ce vieux là…

--- Non… ah... Bref non… Ah on change de sujet.

--- Purée non mais… déjà ? Miranda je te demande depuis de faire attention à cet homme. Il y’a les argent qu’on ne prend pas.

--- je ne l’aime pas okay ? Mais arrêtez un peu de me saturer la tête. J’étais là calme. D’abord c’est lui avec ces histoires, maintenant c’est toi avec d’autres. Non laissez-moi un peu respirer bon sang ! Je ne veux plus de Brice. Je vais rester seule et gérer avec ces hommes pour de l’argent comme tu m’as appris et merci pour l’apprentissage que tu ne cesses de chanter dans mes oreilles chaque fois !

--- Miranda je baisse le ton. S’il te plait, ne laisse pas Brice. Je suis désolé si tu avais mal pris mes propos. Je n’ai jamais détesté Brice. Tout ce que je voulais c’était que tu sois indépendante que tu ne souffres plus que tu fasses aussi ce que j’ai fait. Que tu sois une fille classe qui ne manquera pas de 1000f. Voilà pourquoi je te conseillais de garder ton homme que tu aimes et prendre même l’argent de ces gars et gérer ton Gars. Parce que j’aimais votre relation. Je ne voulais pas que tu attendes toujours de lui alors que lui-même attends de ses parents. Je voulais que tu lui tendes souvent la main. Même les plus grandes prostituée ont toujours un homme qu’elles aiment et se comportent bien avec lui.

--- Je ne veux plus ! Merci !

Je l’ai laissé là et je suis entrée.

--- Brice s’il te plait tu peux partir. Je suis désolée mais c’est comme j’ai dit.

Il me fixa longuement, surement valsant ses pensées d’un bout à l’autre ne sachant quoi dire. Il secoua la tête avant de lancer

--- je sais que quelque chose ne va pas avec toi. Mais très vite tu te rendras compte de ton erreur. Passe une bonne journée.

Il prit la porte.

Lucie est arrivée une dizaine de minutes après.

--- Miranda toi seule sait ce qui t’arrive. Dans tous les cas, je ferme ma bouche. Mais Brice est tout ce qu’une femme rêve avoir

--- Sors donc avec lui ! Il t’apportera ce que ton cœur veut ! De toutes les façons je pense qu’il faut qu’on déménage. On prend un studio ou un appartement de 2 chambres.

--- Hein mama ? Et on va voir l’argent ou pour ça ?

--- on a des financeurs nor ? On a qu’à s'habiller bien un soir très sexy, on les embobine bien et on leur détache le koki bien chaud emballé dans de nouvelles feuilles bien attirantes. Puis leur grattant les barbes avec nos jolies manucures, on leur fait part de cela. Ce qui est certains ils ne vont pas refuser.

--- Humm bref on verra.

--- j’ai envie de dans er. On sort ?

--- on sort danser déjà en journée ?

--- Non on sort maintenant manger puis le soir on va danser.

--- je n’ai pas d’argent hein…

--- je gère ma chérie. Aujourd’hui c’est moi le porteur.

--- Qui suis-je pour refuser ? On y va

Nous avons pris un bain et nous sommes sortis.

Deux semaines venaient de s’écouler. J’avais revu Charly près de 3 fois et avec lui j’avais pu avoir de lui près de 70 milles que j’avais utilisé pour m’acheter un ensemble dame et une paire de talon.

Martin lui m’avait informé de son voyage pour Dubaï pour gérer quelques dossiers et qu’à son retour il allait me faire signe. Je m’étais rendue dans 3 grandes boutiques à Yaoundé ou j’avais utilisé 200 milles de mon compte, pour m’acheter quelques habits de marque de bonne qualité et une bonne greffe avec 50 milles. Il ne me restait plus que 50 milles.

J’avais caché tous ces achats dans ma valise pour que Lucie ne les voie pas. Cette chambre devenait très petite pour moi. Je voulais un studio ou je vivrais seule, je pourrais mettre les habits que je veux et vivre ma vie seule. Dans cette chambre je ne pouvais pas vivre cet épanouissement avec Lucie près de moi. Il me fallait vraiment trouver un plan.

Lucie et moi nous étions devant mon portail en train de discuter un après-midi lorsqu’une Range Rover a garé. J’imaginais déjà qui ça pouvait être. Mais je ne me voyais pas être digne de recevoir Martin dans ma chambrette.

Heureusement c’était son chauffeur. Il me fit signe de venir et je m’approchai près de la voiture.

--- Bonsoir. C’est Martin qui t’envoie me chercher ?

--- Non ! Bonjour. Il m’envoie te donner ceci. Il me tendit un nylon noir. Il m’a aussi demandé de t’informer qu’il est rentré et qu’il aimera te voir demain.

--- Euh d’accord j’ai compris

--- je passerai te chercher quand il décidera.

Il fit monter la vitre et fit marche arrière. Je me retournai tenant le sachet en main et Lucie qui me regardait me demanda qui c’était.

--- C’est le chauffeur du vieux là…

--- Ton sugar daddy.

--- Ah c’est alors mieux cette appellation. Oui mon sugar daddy. Ou c’est même quoi dedans et… je suis trop excité de découvrir. Allons à l’intérieur.

Nous sommes entrées et j’ouvris le sachet. Lucie ouvrit les yeux ainsi que moi. Je fermai ma bouche avec ma main pour ne pas crier.

--- IPhone 13 Miranda ?

--- Mama je suis dépassé !

--- attends j’ouvre pour voir l’intérieur. Pardon…

Je me suis assise au lit. J’ai ouvert le carton de téléphone. Il avait glissé une liasse de 100 milles juste au-dessus du téléphone.

J’étais heureuse, très heureuse pour ce cadeau. Dans ma gaieté je pouvais sentir une profonde déception en Lucie, elle admirait mon portable presqu’avec Jalousie. Pour cacher ce moment je lui donnai 70 milles sur ces 30 milles car je savais que Martin me donnera encore de l’argent demain.

Mais dans tout ça j’avais déjà mon idée. De quitter cette chambre et de m’installer seule pour m’épanouir et fuir les probables problèmes avec Lucie.

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02/06/2022



𝐄𝐜𝐫𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫: 𝐊𝐈𝐍𝐆 𝐍𝐀𝐓𝐇



Il était 5h quand Ruth s’est réveillée. Me réveillant aussi après elle. Elle me caressait le torse et j’ignorais ce qu’elle avait à dire. Je m’étais retournée vers elle en lui posant un bisou sur le front

--- Bébé il y’a quoi ? Il est 5h tu es déjà debout

--- En fait je suis éveillée depuis 4h. Je ne voulais pas te déranger.

--- Et pourquoi tu étais debout à cette heure ? Qu’est-ce qu’il y’a ? Tu as des soucis ?

--- Non je n’ai pas de soucis. Tout va bien bébé. En fait c’est juste que, je pensais à notre séjour en côte d’ivoire. Bébé il va vraiment me falloir du temps pour accepter la réalité. Accepter que tout ce que je vis si est réel.

--- Mais Ruth… c’est pour ça que tu ne dors pas ? Olala cette fille.

--- Pour toi c’est rien et c’est normal. Mais imagine tu sors avec moi étant un homme débrouillard et demain je t’informe que je suis la fille du gouverneur ou encore d’un ministre. Comment vas-tu te sentir ? Bébé c’est la même chose. Je ne sais même pas comment me comporter. Comment faire…

--- Soit juste toi. Soit normale comme tu l’as toujours été. La seule chose qui va changer c’est qu’il y’aura disponibilité d’argent. Si tu as des désirs tu les gères c’est tout. Je ne pense pas que tu puisses être arrogante et orgueilleuse à cause de ça comme beaucoup d’autres filles.

--- Non ça ne m’intéresse pas ce comportement.

--- super. Sinon comment ça va se passer ta dote ? J’aimerai déjà faire au moins cette partie. Comment ça se passe ici chez vous ?

--- c’est facile déjà puisqu’il y’a que ma mère. Parlant de la grande famille nous n’en avons presque pas. Je veux dire… bref je ne sais pas. C’est à ma mère de te dire ce qu’il faut pour ma dote.

--- D’accord je vois et… il faut que tu te renseignes pu je dois me rendre au village ?

--- On peut y aller ensemble.

--- d’accord.

Elle est descendue du lit et m’a fait descendre moi aussi. Nous sommes sortis nous assoir dehors à la véranda. Il faisait froid mais nous avions des pulls, causant et discutant jusqu’à voir ensemble le jour se lever.

Ruth m’a laissé à la maison et elle est partie au travail.

A la maison je commençais à réfléchir quant à l’investissement que je pouvais faire au Cameroun. Le pays en lui-même commençait à me plaire et je ne voulais plus aller en côte d’ivoire aménager avec Ruth. Elle ne me l’avait jamais suggéré mais je pensais bien à m’installer dans ce pays, mettre sur pieds mes entreprises et me construire. D’ailleurs les entreprises de mon père seraient désormais à ma charge, mais il me fallait des structures dont je serais heureux d’être le promoteur.

Depuis le bas âge j’avais toujours adoré l’agriculture. La culture des fruites et des légumes pour la cuisine. Pendant mes voyages de découvertes, Ruth m’avait dit que la région de l’ouest était la région par excellence de l’agriculture. Il me fallait donc avec son aide m’y lancer.

J’avais mon bloc note ou je remplissais mes idées business et mes projets futurs. Il me fallait une maison digne dans la ville de Douala. Un duplex propre qui aura notre statut. Pour ça il fallait des agents entré en contact avec des agents immobiliers pour trouver ce dont je voulais.

Il était 12h et je m’ennuyais. Je me suis habillé et j’ai pris la route de l’institut. Je suis entré les employées m’ont salué. J’ai remarqué une fille qui se faisait les ongles. Cette fille dont la beauté extérieure primait sur tout le reste. Elle discutait et riait avec la prothésiste ongulaire quand elle m’a vu. C’était Vanessa.

--- Bonsoir Vanessa. Lui ai-je dis

--- Bonsoir. Tu fais quoi ici ? Tu as déjà l’argent au point de vouloir faire les soins ?

Il y’avait une fille assise près d’elle se faisant aussi les ongles. Surement sa copine vue la façon dont elles se moquaient ensemble en secouant la tête.

--- Euh Non je ne viens pas faire mes soins désolés

--- Et tu fais quoi dans l’institut des femmes ? Ou bien… tu as ta copine ici… si c’est le cas c’est bien hein… elle t’a un peu changé. Tu un t-shirt Lacoste et une bonne paire de sandale. Pourtant je t’ai connu tu étais bizarre Didon

--- tu n’es pas obligé de parler si fort en plus dans un institut de beauté avec des clientes. Et oui elle a pu faire ce que toi tu ne faisais pas c’est ça nor

--- Non elle est juste bête. Je suis sûr que même ta voisine qui faisait comme si elle est trop arrivée là, a fini par te quitter. Mon frère on ne dr**ue pas la femme quand on est incapable de lui donner au moins l’argent de ses ongles. Voilà mes ongles que je fais à 10 milles… tu peux gérer ?

--- Vanessa je suis désolé mais tu n’as pas besoin de me manquer de respect. Nous n’avions pas rendez-vous ici. Fais juste tes ongles et tu t’en vas.

--- La honte va te tuer. A dire que j’étais même revenu toi et ton tintin là vous m’avez chassé. Bref…

--- Combien de fois tu as déjà fait tes ongles ici ?

--- Mon chéri je fais mes ongles ici chaque 3 semaines tu suis ? À 10 milles.

--- Ah d’accord c’est super. Donc j’ai déjà récupéré tout l’argent que j’avais dépensé sur toi. Mais je n’aimerais plus en prendre. Euh Judith fais lui cette pose gratuitement et pour sa copine aussi. Je ne veux plus que l’argent souillé entre dans mes caisses. Dorénavant qu’elles fassent les poses gratuitement. Me suis-je adressé à la prothésiste.

--- D’accord monsieur.

A ce moment Ruth est sorti de son bureau. Elle m’avait entendu parler mais surement était impatiente de me voir mais je ne venais pas. Elle a vu Vanessa aussi

--- C’est pour dire quoi tout ça ? me demanda Vanessa

--- Ah Comment ? Le fait que je te demande de faire tes poses gratuitement ? C’est L’institut que j’ai acheté pour ma femme. Mais bon… il faut gérer ça comme ça. Elle ne va pas se fâcher.

--- Bébé j’ai faim et puis tu viens sans rien me garder. A interrompu Ruth

--- Olala tu aurais dû me faire un message. Désolé il est midi on peut aller manger au restaurant nor… ça sera rapide. La voiture est dehors.

--- Ah d’accord laisses moi prendre mes téléphones au bureau j’arrive.

--- D’accord.

Je suis sorti sans rien dire à Vanessa et sans même la regarder. Ruth elle aussi est sortie quelques minutes après. Elle a ouvert la portière et entrait avant que Vanessa est sortie de l’institut appelant mon nom. Je me suis retourné

--- Ismaël ça veut dire quoi ce cinéma ? Institut, voiture, et tout… je ne comprends pas.

--- Olala en quelle langue je dois parler pour que tu comprennes ?

--- Non mais tu travailles à la station nor ?

--- Non je n’y travaille plus. En fait c’était juste une couverture. Je ne suis pas celui que tu pensais Vanessa. Tu as échoué le test et une autre a réussis. Je ne savais pas que c’est dans son institut que tu te faisais tes jolis ongles. Tu vois ? L’argent que j’ai dépensé sur toi, il y’a longtemps que je l’ai récupéré. Comme quoi le mal que tu penses faire à quelqu’un finit toujours par te retomber. Jamais je n’ai été pauvre Vanessa désolé. Bon va continuer tes ongles d’accord ? Nous n’avons pas de problème. C’est le passé et comme j’ai dit dorénavant tu fais tes ongles gratuitement. C’est un cadeau de la maison

--- Non Ismaël ça ne peut pas se passer comme ça ! Tu m’as menti. Tu m’as fait croire que tu es pauvre alors que ce n’est pas le cas ? Tu savais que je t’aimais et que je voulais de toi. Si tu prenais soin de moi comme je voulais je n’allais jamais être bizarre envers toi. Ismaël tu sais que je t’ai aimé et que…

Ruth m’a demandé de monter très rapidement dans la voiture. Chose que j’ai fait sans hésiter. J’ai démarré et nous sommes partis laissant Vanessa là, presqu’en larme.

--- Mais je ne comprends pas certaines filles hein… elle est sérieuse là ? me demanda Ruth

--- Bébé j’allais te poser la même question. Il fallait d’abord voir comment elle m’a parlé à l’intérieur là avant que tu ne sortes. Elle a presque déballé notre relation devant les gens. Elle voulait qu’on se moque de moi et me regarde sous le mauvais angle. Mais hélas c’est elle apparemment qui s’est fait mal…

--- elle manque un truc dans sa tête cette fille je t’assure. Je ne pense pas qu’une fille normale puisse être aussi versatile et ondoyante. Il y’a quelques minutes elle se moquait de toi et à la seconde qui suit elle est toujours amoureuse de toi. Le prototype même des femmes dont l’argent est le seul moteur des sentiments. Quand il y’a l’argent, il y’a l’amour. Quand il y’a pas d’argent elle te traite de tous les noms.

--- Dieu merci je suis quitté derrière.

--- J’espère c’est pour de bon. Je ne veux plus voir cette fille. En passant même pourquoi tu lui as demandé de faire désormais ses poses gratuitement ?

--- je ne suis pas très bon croyant mais la bible dit selon mes reformulations que l’amour que tu présentes à ton ennemie est plus brulante qu’une braise sur sa tête. Comme pour dire que la meilleure manière de détruire ton ennemie c’est de le prendre ou il ne s’y attend pas. Elle n’aura plus le courage de passer dans cet institut. Seulement si vraiment elle a deux têtes.

--- Toi là tu es intelligent hein… bref allons manger. Tu as même vu Koné aujourd’hui ? Bref nous le verrons au restaurant.

J’ai roulé jusqu’au restaurant ou nous avons mangé et bu.

Le soir au salon Koné était troublé. Ce gros bavard semblait être aussi un gros peureux.

--- Vieux Olivia a dit on vient demain à 10h comme ça. Son père sera à la maison avec sa mère.

--- d’accord c’est super. On ira

--- C’est comme si toi là ça te dis rien quoi. Vieux son père sera là.

--- Koné c’est pas moi qui l’ai enceinté. C’est toi. On va aller et puis on va parler normalement. C’est homme comme nous. Seulement qu’il a pouvoir, mais c’est homme. On va s’entendre

--- J’ai peur dèh. Je vais porter Costume. Comme ça il va me voir comme grand homme

--- C’est tant mieux. Soit posé

--- si demain je rentre pas à la maison là… faut seulement

--- Koné tu as simplement enceinté. Tu n’as pas tué. De nos jours chaque parent sait que ça peut arriver. Faut seulement être posé ok ?

--- je vais garder pizza à sa mère

--- Tu penses qu’elle n’en mange pas ? Tu veux augmenter sa colère ? Koné il faut dormi tout ira bien.

Ruth nous a servi le souper avec des fruits, nous avons pris ensemble avant de se séparer.

Le lendemain Koné et moi nous avons pris la route. Il avait porté le costume comme il avait dit et moi j’étais habillé simplement pour se distinguer de lui. Olivia nous avait bien indiqué et nous attendait à l’entrée de sa maison. Nous avons garé la voiture dehors et nous sommes descendus. J’ai salué Olivia et Koné lui aussi. Elle nous a ouvert le portail et nous sommes entrés. Une très belle maison digne d’un procureur de la république. Une superbe maison digne d’un riche bien construite. Nous avons salué un ainé D’Olivia qui avait presque notre âge. Il était assis à la véranda et buvait un jus. Olivia nous a conduits au salon principal. Nous nous sommes assis.

--- je vais aller appeler mes parents. Ils sont encore dans la chambre.

Elle nous a laissé et est partie. Quelques minutes après de l’étage nous avons entendus les bruits. La porte de la chambre s’ouvrir et la voix grave du père se faisait entendre. Il parlait au téléphone avec le gouverneur. Nous l’avons su car il ne cessait de le dire. Il est descendu les escaliers en s’approchant. Koné s’est bien rangé dans le canapé tout apeuré.

Le père d’Olivia pouvait avoir 1m85. Costaud et bien velu avec un ventre conséquent. Il avait sur lui un débardeur avec une culotte. A voir son visage il faisait peur. On pouvait penser à un homme vraiment sévère et difficile. Moi-même qui avais le cœur libre, j’ai pris peur en le voyant. Son appel téléphonique est fini. Il s’est approché de nous et nous a salués individuellement en nous serrant la main.

--- Oui qui a enceinté ma fille ? dit-il en se jetant sur le canapé.

Cette question était brusque, rapide, étonnante. Nous avons gardé le silence pendant un moment, il a reposé la question. J’ai fixé Koné et lui aussi m’a fixé avant de répondre

--- C’est moi père, Monsieur… je suis désolé je ne savais pas que c’est votre fille

--- Comment ça ? Tu ne savais pas qu’elle a un père ? Tu me connais pour savoir si elle doit être ma fille ou pas ?

--- Non ce n’est pas ce que je voulais dire monsieur. Je savais qu’elle a un père.

--- Et alors ? Pourquoi dire que tu ne savais pas que je suis son père on se connait ?

--- Non monsieur.

--- Et tu parles même avec quel ton ça… tu es d’où ?

--- je suis ivoirien, avec mon frère.

--- cette fille… tu as rencontré ma fille comment ? Tu sais qu’elle est encore élève ? Tu sais qu’elle est mineure et que tu as enceinté une mineure. Elle t’a dit qui je suis ?

--- Monsieur elle a 19 ans elle n’est plus mineur quoi… donc… Bref on s’est rencontré en route comme ça j’étais en train de boire avec mon frère et sa copine et je suis sorti un peu et j’ai vu Olivia elle passait. Elle était belle jusqu’à, mon père je ne savais pas qu’elle est mineure elle était bien développé avec les formes et elle était gentille. C’est comme ça qu’on s’est changé de contact et on s’est aimé. Je ne voulais pas l’enceinté, c’est seulement arrivé comme ça.

--- Mais ce gars est malade ! Tu parles à son père comme ça tu ne trembles même pas ? Donc ce sont les formes de ma fille que tu as vu. C’est vous qui enceintez les filles des gens partout hein… les enfants même en plus.

--- Monsieur Olivia c’est seulement dans Acte là qu’elle est enfant. Sinon dans la vraie vie là, elle est plus qu’une femme de 30 ans. Je l’aime et si vous voulez là, moi je vais l’épouser.

Le père d’Olivia s’est mis à rire en regardant Koné. Je ne savais pas qu’il devait une fois de plus se comporter ainsi devant le procureur. Ce dernier a appelé Olivia qui est venu s’assoir.

--- Ngo tu m’as dit qu’il est grand et responsable nor

--- Oui papa

--- Mais c’est carrément un guignol celui-là… tu as même vu quoi derrière lui. Werr les enfants d’aujourd’hui. Je t’ai envoyé à l’école de fréquenter et après ton bac je t’envoie continuer tes études au canada. Comme ça tu ouvrais déjà tes petites jambes là voilà maintenant ce tintin a mis un truc je ne sais même pas à quoi va ressembler l’enfant là. Si l’enfant là sort comme lui là vraiment on est perdu. Tu l’aimes ?

--- Oui papa je l’aime.

--- il fait quoi dans la vie ? Petit tu fais quoi ?

--- Ah je suis le propriétaire du restaurant OliKo Lounge

--- Mais … c’est dans ton restaurant que je mange chaque jour ? C’est situé à Akwa nor

--- Exactement Père. Donc comme ça tu mangeais chez moi… ahi si je connaissais comme ça ce que tu ne payes jamais quoi

--- On dit vous petit sa**ud ! Je suis ton égale ? À ton âge tu as ce grand restaurant ? Bref je vais aller travailler. Si tu vas prendre soin de ma fille ça va. Je voulais seulement voir la personne. Tu as ta chance que tu n’as pas fuis. Le gouverneur vient de m’appeler là je dois aller le voir. On va se voir prochainement. Et il faut dire à tes serveuse hein… je ne paye plus les factures.

Il s’est levé et il est allé dans sa chambre.

Je n’avais pas dit mot depuis. Koné m’a regardé, il a regardé Olivia, ils se sont mis à sourire.

Il s’est penché vers moi

--- Lovié… Le papy là c’est un rigolo quoi… il m’a laissé comme ça… sans rien dire… il n’a rien dit vieux…

Olivia s’est levée. Elle a demandé si elle nous sert à boire. Tout ce que je voulais c’était de partir. Koné et moi nous avons attendu un peu que le père d’Olivia parte pour prendre la route nous aussi.

Près de la voiture dehors Koné a serré Olivia tout heureux

--- Mais Koné Ya quoi ?

--- Vieux laisse tu comprends pas encore. Djo j’étais mort quand vieux là est descendu des escaliers. Il était gros là on dirait bulldozer avec son ventre de bière là. Quand il a demandé qui a enceinté sa fille, wallaye je voulais disparaitre Djo. Djaaaa c’est un rigolo comme nous. Il riait même en m’insultant

--- Tu étais trop inquiet

--- Mon père est trop simple. Je ne voulais pas seulement te dire comment il allait réagir. Je voulais que tu viennes toi-même te présenter comme un homme. Lui et moi on cause chaque jour. Il avait déjà posé toutes les questions il voulait juste voir ta face. Dit Olivia

--- Mais pourquoi tu m’avais pas dit ? J’étais avec toi, je tremblais là et tu parlais pas. Adama on peut faire ça à l’enfant des gens ?

--- Tu es un homme, jusqu’à tu as même mis la veste. Je ne savais pas que tu étais chaud en veste hein bébé

--- tu ne connais pas encore ! Je suis trop chaud même. Maintenant ton père connait ton mougousseur et il mange dans mon restaurant je savais pas même. Donc lui et moi on se verra chaque jour. Maintenant je vais te mougou sans pitié il me connait déjà et il a même demandé tu as dit que tu m’aimes donc tu vas voir. Faut même monter on rentre.

--- Mouff je dois étudier. Merci d’être venu Ismaël. Merci bébé. Je dois vous laisser.

Elle est partie et nous avons pris la voiture pour rentrer.

__________ A SUIVRE ___________

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