Pari-T

Pari-T Pari-T : "Chez Moi"
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Description du projet associatif et des activités habituelles de Pari-T

Ce projet de Pari-T consiste en la création d’ outils de formation, d’information et d’accompagnement pour les personnes transgenres, a la mise en place d'un espace d'accueil, de convivialité, où les femmes et hommes Transgenres, transsexuel(le)s et intersexuel(le)s atteint(e)s par le VIH ou non, pourront échanger des expéri

ences et objectifs de vie, d’être d’accompagné(e)s dans leurs projets professionnels, leurs besoins quant à leur santé et de mettre en valeur leur reconnaissance sociale.

13/02/2023
13/02/2023

"El amor que nos negaron es nuestro impulso para cambiar el mundo".

Se cumplen siete años de la partida de la histórica activista tr****ti, militante de los derechos de la diversidad, Lohana Berkins.

Su activismo fue puntal y vital en la lucha por la igualdad de derechos lgbt+, en especial para la comunidad tr****ti y trans. Su lucha es bandera de diversidad, de igualdad, de justicia.

Lohana fue asesora en temas de diversidad y de género en diferentes espacios políticos y sociales. Fundó la Asociación de Lucha por la Identidad Tr****ti y Transexual (ALITT) y, en 2008, creó la Cooperativa Textil “Nadia Echazú”, que había ideado con la histórica activista trans; primera escuela cooperativa para tr****tis y trans, y emprendimiento laboral gestionado y administrado por personas tr****tis.

En 2013, fue nombrada al frente de la Oficina de Identidad de Género y Orientación Sexual, que funciona bajo la órbita del Observatorio de Género en la Justicia de la Ciudad de Buenos Aires.

Escribió y compiló varios libros, participó en los documentales “Furia Tr****ti: una historia de traVajo” y “Mocha”, y en “Historias Debidas II, cap. 5: Lohana Berkins”.
En 2011, el Gobierno de la provincia de Buenos Aires la distinguió con el “Árbol de la Inclusión”, en reconocimiento a su compromiso en la lucha contra la discriminación, y fue declarada “Personalidad Destacada de los Derechos Humanos”, por la Legislatura porteña. En 2012, fue nominada a los Premios Democracia, que otorga el Centro Cultural Caras y Caretas, en la categoría de “Derechos Humanos”, y desde 2021 la plaza Miserere cuenta con una placa que la recuerda.

13/02/2023

Kouka Garcia Kouka Garcia Pari-T Centre d'accueil pour les personnes transgenres 75018 Paris Pari-t Transgenres Pari-t Transgenres Pari-T Kouka Garcia Red Trans Latina Europea Kouka Garcia de Mesureur

13/02/2023

Vidéo courte de Pari-T avec ♬Creative

La mairie de Paris rachète un immeuble pour sauver un dancing gayLa Ville de Paris va acquérir pour 6,7 millions d'euros...
11/11/2021

La mairie de Paris rachète un immeuble pour sauver un dancing gay
La Ville de Paris va acquérir pour 6,7 millions d'euros un immeuble du Marais afin de sauver une boîte de nuit gay historique, le Tango, et de convertir les 8 appartements situés au-dessus en logements sociaux.

"Faire du logement social dans le Marais a un coût", a reconnu auprès de l'AFP Ian Brossat, adjoint PCF au logement qui a fait valoir le droit de préemption de la Ville afin d'acquérir le 11-13 rue au Maire.

Le conseil d'arrondissement de Paris Centre a validé lundi le projet de rachat, acté fin septembre et qui doit encore recevoir le feu vert du Conseil de Paris, du 16 au 19 novembre, pour être effectif. En juin, les élus parisiens avaient voté à la quasi-unanimité le principe d'un rachat.

"Le dossier a une valeur très symbolique, pas seulement parce que cette délibération nous permet de faire du logement social dans un quartier qui en manque cruellement, mais aussi par la présence du Tango", souligne Ian Brossat.

En 2019, l'ex-IIIe arrondissement dans lequel se trouve l'immeuble comptait 8% de logements sociaux, contre 21% pour l'ensemble de la capitale. Le bâtiment de 4 étages - 343 m2 de surface habitable - va être loué par la Ville à Elogie-Siemp, l'un de ses bailleurs sociaux, pour 65 ans et un loyer capitalisé de 3,1 millions d'euros.

Mais l'objectif était d'abord de sauver, dans le local commercial de 200 m2 situé au rez-de-chaussée, l'un des "plus anciens dancings de Paris", le Tango, "qui a fait danser toutes les fins de semaine les communautés LGBTQI+" depuis 1997, avait expliqué le maire de Paris Centre, Ariel Weil.

Un lieu à vocation conviviale depuis la fin du XIXe siècle, "de guinguette à cabaret, de bal musette à discothèque". Les travaux pour mettre aux normes le bâtiment - menuiseries, façade et couverture - vont donner à la mairie quelques mois pour "revoir le projet", a indiqué Jean-Luc Romero-Michel, adjoint aux droits humains également impliqué dans le projet. "L'idée est de garder un lieu festif LGBT" qui bénéficiera d'un "prix du loyer modéré", a-t-il ajouté.

Rédaction avec AFP

21/10/2021
28/06/2021
C'est lundi 17 mai 2021 que l'on célèbre la Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie
14/05/2021

C'est lundi 17 mai 2021 que l'on célèbre la Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie

03/05/2021

⚠️⚠️⚠️ SAMEDI 26 JUIN 2021 ⚠️⚠️⚠️

Parce qu’il nous faut encore marcher en 2021 !
Parce qu’il est important d’être visibles !
Parce que nous devons toujours revendiquer des droits !
Parce qu’il y a encore du chemin à parcourir !
Parce qu’il était temps de se retrouver enfin !

Nous vous donnons rendez-vous le 26 juin 2021 pour la Marche des Fiertés LGBT+ de Paris/Île-de-France ! Sans chars, sans podium mais avec nos colères, notre détermination et plus que jamais nos voix ! ✊ 🏳️‍⚧️🏳️‍🌈

Plus d’information vous seront communiquées dans les prochaines semaines sur l’organisation de la manifestation : le point de rassemblement, le parcours, texte d’appel, mot d’ordre, protocole sanitaire pour la sécurité de tou·te·s…

Encore un peu de patience !

📍1° mayo Día internacional de trabajadores y de trabajadorasLas personas TranS’ latinas residentes en Francia exigimos i...
02/05/2021

📍1° mayo Día internacional de trabajadores y de trabajadoras
Las personas TranS’ latinas residentes en Francia exigimos inclusión laboral
No queremos ser las los olvidadas de la republica.

Être une personne trans en ligne, c'est parfois obtenir une plateforme d'écoute et de soutien. Mais les réseaux sociaux ...
23/04/2021

Être une personne trans en ligne, c'est parfois obtenir une plateforme d'écoute et de soutien. Mais les réseaux sociaux peuvent aussi être des espaces durs, où les personnes trans peuvent être ciblées par des campagnes de cyberharcèlement très violentes. Les géants du web, eux, justifient leur inaction par la transphobie de la société, hors ligne.

« Une fois au lycée, un gars est venu me voir pour me demander si j’étais un mec ou une fille, je lui ai dit que j’étais un mec et il est reparti voir ses potes en criant ‘TU ME DOIS 5€’ »

https://www.numerama.com/politique/705553-transphobie-en-ligne-on-ne-sexcuse-pas-dexister-ce-qui-exalte-beaucoup-dopposition.html

Être une personne trans en ligne, c'est parfois obtenir une plateforme d'écoute et de soutien. Mais les réseaux sociaux peuvent aussi être des espaces durs, où les personnes trans peuvent être ciblées par des campagnes de cyberharcèlement très violentes. Les géants du web, eux, justifient ...

‘Ouverture du procès pour le viol d'une prostituée TranS  sans-papiers à Paris☑️ Le procès d'un homme accusé d'avoir vio...
17/03/2021

‘Ouverture du procès pour le viol d'une prostituée TranS sans-papiers à Paris

☑️ Le procès d'un homme accusé d'avoir violé une prostituée transgenre, une Péruvienne en situation irrégulière, au Bois de Boulogne en 2018, s'est ouvert mardi devant la cour d'assises de Paris.

"J'assume mon entière responsabilité (...) Je reconnais les faits", a déclaré d'emblée l'accusé, un homme de 28 ans qui comparaît détenu. En réponse aux questions de la présidente, il a détaillé: il reconnait le viol et l'usage d'un couteau pour menacer la prostituée, Cristina.

L'accusé est jugé pour "viol commis sous la menace d'une arme", "vol", "récidive de recours à la prostitution".

Cristina, qui se prostituait au Bois de Boulogne, a déposé plainte le 8 novembre 2018 pour ce viol. Quand elle a dit à cet homme, qui ne voulait pas mettre de préservatif, qu'elle refusait un rapport sexuel non protégé, celui-ci a saisi un couteau pour la menacer, selon l'ordonnance de mise en accusation. Il lui a imposé une fellation, un rapport a**l et frappé au visage.

L'accusé a été retrouvé grâce à la vidéosurveillance. Cristina, en état de choc, a dû être hospitalisée en psychiatrie.
La cour d'assises a commencé mardi matin à se pencher sur le profil de l'accusé, un ancien technicien administratif de la CPAM, licencié en 2018.

Il a eu une seule relation stable, avec son épouse actuelle, mais "une cinquantaine de partenaires sexuelles dans sa vie, principalement des histoires d'un soir et des prostituées". Il se dit hétérosexuel, mais "reconnait une certaine attirance pour des transsexuels", a poursuivi l'enquêteur. Il avait d'ailleurs déjà eu "deux ou trois relations avec des prostituées trans".

Le procès se poursuit jusqu'à jeudi.
Rédaction avec AFP

Journée internationale des droits pour toutes les femmesLes femmes TranS’ : les oubliées de la RépubliqueÀ l'occasion de...
08/03/2021

Journée internationale des droits pour toutes les femmes
Les femmes TranS’ : les oubliées de la République

À l'occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, l’association Pari-T alerte sur les discriminations dont sont toujours victimes les femmes TranS’.
Dans le contexte actuel où prévalent toujours les inégalités basées sur le genre, Pari-T lutte pour l’intégration sociale et professionnelle des femmes transgenres en partenariat avec des associations intermédiaires.
En 2020, l’épidémie de COVID-19 a particulièrement cristallisé l’exclusion dont sont victimes les femmes TranS’ de tous âges et de toutes origines. Encore aujourd’hui, elles souffrent de discriminations dans tous les domaines de la vie : l’accès à l’emploi et la carrière professionnelle, les relations amicales et familiales, l’occupation de l’espace public, la représentation politique…

Alors qu’en France, l’égalité femmes-hommes est un principe constitutionnel depuis 1946, les femmes TranS’ ne peuvent toujours pas exercer leurs droits fondamentaux de manière indiscriminée.

Sommes-nous des citoyennes de second rang ? À quand des politiques publiques adaptées qui nous garantissent les mêmes droits que n’importe quel citoyen ?
Association Pari-T 30 rue Boucry 75018 Paris Tél : +33 1 42 05 78 73
Mail : [email protected]

Rapport ILGA 20202020 a été marqué par une forte augmentation des discours de haine contre les personnes LGBT en EuropeL...
17/02/2021

Rapport ILGA 2020
2020 a été marqué par une forte augmentation des discours de haine contre les personnes LGBT en Europe

Les discours de haine à l'encontre des personnes LGBTI se sont multipliés en Europe et en Asie centrale dans le contexte de la pandémie de coronavirus, alerte la Fédération ILGA-Europe dans son rapport annuel publié mardi.
Les attaques verbales contre les LGBTI de la part de responsables politiques ont connu une hausse en Albanie, Azerbaïdjan, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, République tchèque, Estonie, Finlande, Hongrie, Italie, Kosovo, Lettonie, Moldavie, Macédoine du Nord, Pologne, Russie, Slovaquie et Turquie, selon ce rapport qui porte sur 54 pays.
Des leaders religieux ont propagé des discours de haine au Bélarus, Grèce, Slovaquie, Turquie et en Ukraine, nombre d'entre eux accusant les personnes LGBTI de propager le Covid-19, selon cette Fédération qui regroupe 600 organisations.
Les propos haineux se sont développés sur les réseaux sociaux en Belgique, Bulgarie, Croatie, République tchèque, Malte, Monténégro, Russie et Turquie. Mais aussi dans les médias en Slovénie et en Ukraine notamment.
Le rapport montre aussi "une opposition croissante" aux droits des personnes transgenres en Europe. Il pointe une "régression" en Autriche, Croatie, Finlande, Hongrie, Lituanie, Russie, Slovaquie, Slovénie et au Royaume-Uni, et une "stagnation" en Allemagne, Andorre, Chypre, République tchèque, Géorgie, Kosovo, Monténégro, Macédoine du Nord et Suède.
"Des autorités et responsables ont utilisé les LGBTI comme boucs émissaires", a accusé Evelyne Paradis, directrice exécutive d'ILGA-Europe, dans un communiqué. L'ONG souligne que l'année a été marquée "d'une façon générale" par des "mesures répressives à l'encontre de la démocratie et de la société civile, et pas seulement en Pologne et en Hongrie", deux pays qui sont dans le collimateur de Bruxelles pour des atteintes à l'Etat de droit. En Pologne, des "zones sans idéologie LGBT" ont été décrétées par plusieurs municipalités.
En Hongrie, le gouvernement de Viktor Orban a inscrit dans la Constitution la notion traditionnelle de la famille et du "genre", et interdit de facto l'adoption aux couples de même sexe.
Le rapport d'ILGA-Europe note toutefois certaines avancées pour les droits des couples de même sexe, citant le Monténégro devenu en 2020 "le premier pays des Balkans occidentaux à introduire un partenariat civil", et la Serbie où le gouvernement s'est engagé à introduire un projet de loi sur une union civile entre personnes homosexuelles.
Katrin Hugendubel, de ILGA-Europe, a salué le plan présenté en novembre par la Commission européenne pour la protection des droits des LGBTI, et la condamnation par la présidente de l'exécutif européen Ursula von der Leyen des discriminations et attaques à leur égard. "Ce sont des pas dans la bonne direction, mais qui doivent être suivis par des actions au niveau national, et une mise en oeuvre effective de la stratégie", a-t-elle déclaré.
Rédaction avec AFP

Paris, France, les militants du SIDA à la démonstration publique de l'Association, pour le 1er décembre, Journée mondial...
06/02/2021

Paris, France, les militants du SIDA à la démonstration publique de l'Association, pour le 1er décembre, Journée mondiale du SIDA ; 'transgenres contre le SIDA" protestation militant

Cinq mois avec sursis pour l'agresseur d'un responsable associatif LGBTLe tribunal correctionnel a reconnu cet homme cou...
11/01/2021

Cinq mois avec sursis pour l'agresseur d'un responsable associatif LGBT

Le tribunal correctionnel a reconnu cet homme coupable de violences en raison de l'orientation sexuelle et d'injures homophobes, mais l'a relaxé pour l'infraction d'outrage sexiste.
Le prévenu avait comparu le 4 décembre pour avoir pris à partie Terrence Katchadourian en avril 2019 alors qu'il promenait son chien avec un ami dans le XVe arrondissement de Paris, le traitant de"tarlouze" et de "PD", avant de lui asséner un coup de poing au visage. Il était aussi poursuivi pour avoir, en septembre 2019 et dans le même quartier, à nouveau injurié la victime en utilisant des termes homophobes, paraissant "ivre" selon un témoin.
Cet homme, voisin des locaux de l'association, croisait régulièrement le responsable associatif. Il aurait changé de comportement après la diffusion d'un reportage d'Envoyé Spécial dans lequel la victime était filmée dans son rôle de responsable associatif LGBT. Le prévenu avait reconnu des insultes homophobes pendant son audition avant de changer de version et de nier toute violence.
Dans les deux dossiers, des témoins ont corroboré les accusations du plaignant. Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet sur la peine, associant le sursis probatoire à une obligation de soins, de travail et d'une interdiction de paraître à l'adresse de l'association.
Son avocate a indiqué se réserver la possibilité de faire appel. "La justice a compris un des enjeux de ce procès qui est que, dans le cas d'une homophobie de voisinage, il est important d'avoir une injonction de ne pas s'approcher de la victime", a réagi l'avocat du militant, Me Étienne Deshoulières.
À l’époque des faits, plusieurs personnalités politiques dont Marlène Schiappa, alors secrétaire d'État à l'Égalité femmes-hommes, la maire de Paris Anne Hidalgo et le député LREM de Paris Benjamin Griveaux avaient apporté leur soutien face à cette agression homophobe.
Rédaction avec AFP

🇫🇷C’est intolérable de continuer à tolérer la transphobie ordinaire en milieu scolaire !🇦🇷 ¡Es intolerable seguir tolera...
23/12/2020

🇫🇷C’est intolérable de continuer à tolérer la transphobie ordinaire en milieu scolaire !
🇦🇷 ¡Es intolerable seguir tolerando la transfobia común en las escuelas!
Pari-T Centre d'accueil pour les personnes transgenres

https://drive.google.com/.../1UbJXYdUVbIrEQ7Y0n9a.../view...

19/12/2020

Su***de d'une lycéenne transgenre, le rectorat défend l'établissement
Le rectorat a fait part jeudi du su***de "d'un" lycéen de Lille en passe "de changer d'identité sexuelle", assurant que l'élève était "accompagné dans sa démarche" dans son lycée, après un emballement des réseaux sociaux mettant en cause la responsabilité de l'équipe pédagogique.

"Valérie Cabuil, rectrice de l'académie de Lille, a appris avec beaucoup de tristesse qu'un élève de terminale du lycée Fénelon de Lille a mis fin à ses jours au sein de son foyer d'accueil mercredi. Cet évènement dramatique bouleverse l'ensemble de la communauté éducative", écrit le rectorat dans un communiqué.
"Une cellule d'écoute psychologique a aussitôt été déployée" pour les élèves et le personnel, poursuit le communiqué, précisant que des "conseillers vie scolaire" se rendront vendredi dans l'établissement.
Le lycée Fénelon "a été informé du cheminement de l'élève et de sa volonté de changer d'identité sexuelle. L'élève, qui se trouvait dans un contexte personnel complexe, était accompagné dans sa démarche par l'équipe éducative de son foyer et de son établissement scolaire", assure la rectrice.
Plus tôt, une série de tweets signée du nom d'une femme se présentant comme "autrice militante, poète pyromane" était devenue virale, affirmant que cette "lycéenne trans" de 17 ans, avait été "humiliée" et "psychologiquement agressée" par une membre de l'équipe pédagogique. Elle aurait été renvoyée chez elle le 2 décembre car elle portait une jupe.
Des internautes relayaient également une vidéo, diffusée sur Snapchat et apparemment filmée par la lycéenne, où l'on entend une voix féminine évoquer des problèmes posés par sa tenue, sur un ton sec.
Jean-Yves Guéant, président de la Fédération des conseils de parents d'élève (FCPE) du Nord, a confirmé à l'AFP que l'élève avait été renvoyée chez elle début décembre car elle portait une jupe.
Mais "aucun élément, à ce jour", ne permet de lier ces faits, au su***de de l'élève, "qui vivait par ailleurs dans un foyer de l'ASE" (Aide sociale à l'enfance) et avait d'autres "difficultés".
"Une discussion avait eu lieu" entre l'élève et l'établissement, et "à priori d'après l'équipe et la famille, l'affaire était résolue", a-t-il poursuivi, regrettant la diffusion de la vidéo et mettant en garde contre les "fake news".
"Il est très compliqué de comprendre ce qui peut se passer dans la tête d'un jeune qui prend ce genre de décision (...) mais à priori, la responsabilité de l'établissement a été écartée", a-t-il conclu.
Selon plusieurs élèves de Fénelon interrogés par l'AFP et qui ont requis l'anonymat, de nombreux lycéens s'étaient mobilisés après les évènements du 2 décembre, venant pour certains en jupe et collant des affiches dans le lycée pour dire "non à la transphobie".
Mais "la direction lui avait présenté ses excuses, et depuis quelque temps ça allait mieux, elle se sentait mieux au lycée", a affirmé une élève de terminale. "Elle avait parlé de l’événement à ses amis, ça l’avait affectée, mais je pense pas que ce soit ça qui l’ait poussée à l’acte".
Si la vidéo semble authentique, "je pense que la direction n'est pas responsable (...) et que la CPE n'avait aucune intention de faire du mal" à l'élève, même si elle a fait preuve de "maladresse", a estimé un autre élève. "Elle avait d'autres problèmes", liés ou non à sa transexualité, selon lui.
Une minute de silence sera observée vendredi au lycée, selon ces jeunes.
Rédaction avec AFP

Notre association est spécialisée dans l’accompagnement social comme sanitaire pour les personnes transgenres migrante s...
09/08/2020

Notre association est spécialisée dans l’accompagnement social comme sanitaire pour les personnes transgenres migrante sur Paris depuis le 4-12-2007. Nous avons acquis l’expérience nécessaire dans le domaine pour apporte des réponses claires, précises, et techniques à nos habituées..
Adresse : 30 Rue Boucry, 75018 Paris
Téléphone : 01 42 05 78 73
Mail : [email protected]

Ci-joint le Renseignements Juridiques

27/01/2019

Projet : Chez moi

09/09/2017

Pari-T Association d'auto-support pour les personnes Transgenres

Adresse

30, Rue Boucry
Paris
75018

Heures d'ouverture

Lundi 08:00 - 12:00
Mardi 08:00 - 12:00
Mercredi 08:00 - 12:00
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